mercredi 22 février 2017

La NASA vient de découvrir des nouvelles planètes telles comme la Terre.

Bonjour à tous ! Je vous affiche un article que je viens de lire parce qu'il y a eu un boom, et je me suis interessé. J' espère que vous l'aimez bien. Vous pouvez trouver cet info n'importe où parce que la NASA vient de la dire. Merci !


La Nasa vient de découvrir 7 nouvelles planètes similaires à la Terre, dans un même et unique système solaire

Une annonce de taille ! Au cours d’une conférence de presse très attendue, ce mercredi, la Nasa a dévoilé avoir découvert un nouveau système solaire composé de 7 planètes à une distance de « seulement » 40 années-lumière de la Terre.

Les mesures de densité suggèrent qu’au moins six d’entre elles sont probablement rocheuses et pourraient avoir des températures similaires à celles de la Terre.

Certaines d’entre elles, découvertes avec l’aide du télescope belge TRAPPIST, pourraient également avoir des océans d’eau à leur surface, condition nécessaire au développement de la vie ? Seul l’avenir pourra le dire…

Grâce à Spitzer, le télescope spatial de la Nasa, l’équipe de Michaël Gillon (ULg) a pu observer pendant trois semaines, à l’automne 2016, ces planètes qui orbitent autour d’une étoile plus petite et plus froide que notre Soleil.

Selon les résultats publiés dans la revue “Nature”, ces planètes pourraient abriter de l’eau sous forme liquide à leur surface, surtout trois d’entre elles.

(…) Pourquoi c’est une découverte importante

Les “sept merveilles”, c’est ainsi que sont déjà baptisées les sept planètes découvertes par l’équipe d’astronomes emmenée par Michaël Gillon (Université de Liège). Ces exoplanètes (planètes hors de notre système solaire) se trouvent à quarante années lumière de la Terre et orbitent autour d’une “naine rouge”, une étoile bien plus petite et froide que le Soleil. Le télescope liégeois Trappist avait déjà repéré trois planètes autour de cette étoile, mais le télescope Spitzer de la Nasa, entre autres, a permis d’en dénicher 4 autres. Une découverte importante : “C’est la première fois qu’on trouve autant de planètes de la taille de la terre aussi proche de nous, explique, depuis Washington, Emmanuel Jehin (ULg) co-auteur de l’étude publiée dans “Nature”. Alors que c’est déjà difficile d’en trouver une ! Jusqu’il y a peu, il y en avait très peu qui avaient été découvertes, hormis celles découvertes par Trappist.”

Ni trop chaud, ni trop froid

Ces “planètes Terre” découvertes ont plusieurs caractéristiques très intéressantes : elles ont une taille similaire à la terre, ont un sol rocheux comme elle et se trouvent dans la “zone habitable”, c’est-à-dire à bonne distance de leur “soleil” – il n’y fait donc ni trop chaud, ni trop froid – pour pouvoir accueillir de l’eau liquide. Et qui dit eau liquide, dit possibilité de vie… “C’est le plus grand système planétaire où on pourrait avoir la chance de trouver la vie dans les années futures, assure Emmanuel Jehin. La plupart des exoplanètes trouvées jusqu’ici sont des géantes chaudes. Les planètes géantes ne sont vraiment pas idéales pour la vie : pas d’eau et encore moins d’eau liquide et pas de sol !”

2 milliards d’étoiles dans la galaxie


Bien sûr, il faut encore investiguer, notamment pour prouver qu’il y a bien de l’eau et connaître la composition chimique des planètes (lire par ailleurs). Mais pour Emmanuel Jehin, on a bien plus de chances de trouver de la vie sur ce type d’exoplanètes que sur Mars, par exemple : “Pour moi, en effet, il ne fait aucun doute qu’il y a de la vie sur des exoplanètes, dans la galaxie. Celle-ci compte 2 milliards d’étoiles dont 50 % aurait “sa” planète. Je pense qu’aujourd’hui, ce sont les exoplanètes les meilleurs endroits pour trouver de la vie dans la galaxie. Et en particulier, les exoplanètes que nous venons de découvrir sont les meilleurs endroits pour trouver de la vie. Car ce sont les seules planètes terrestres dans la ‘zone habitable et qui sont suffisamment proches.” Qu’elles ne soient pas trop loin dans la galaxie permet plus facilement aux télescopes d’étudier la composition chimique de l’atmosphère des planètes (lire par ailleurs) afin de voir si elle est compatible avec la vie, telle qu’elle est apparue sur Terre. Ce sera en effet la prochaine étape.


samedi 18 février 2017

Le virus de la mononucléose peut 

déclencher un cancer

Présent chez 95% de la population mondiale, le virus d’Epstein-Barr est connu pour générer une infection banale, durant l'enfance la plupart du temps. Mais pour certains individus, les conséquences sont bien plus graves.

Virus d’Epstein-Barr
AMPLIFICATION DE CENTROSOMES (STRUCTURES CELLULAIRES SITUÉES AU VOISINAGE DU NOYAU DES CELLULES) INDUITE PAR L’INFECTION LIÉE AU VIRUS EPSTEIN-BARR
© INSERM
Sans le savoir, il y a de très fortes chances pour que vous soyez infecté par le virus d’Epstein-Barr, un membre de la famille des virus herpès. En effet, c'est le cas de 95 % de la population mondiale adulte ! Dans la plupart des cas, ce virus est inoffensif. Il entre généralement dans l'organisme pendant l’enfance et se manifeste par une banale infection des voies respiratoires ou par une mononucléose, qui disparait en quelques semaines. Toutefois, le virus d’Epstein-Barr persiste dans l’organisme jusqu’à la mort. Et chez certaines personnes, il entraîne des conséquences bien plus graves : ce virus, qui infecte les lymphocytes du système immunitaire et certaines cellules de la muqueuse de la bouche et du pharynx, peut déclencher un cancer. Le mécanisme d'infection a été découvert par une équipe franco-allemande (Inserm / German Cancer Research Centre) et il est détaillé dans la revue Nature.

Une protéine du virus chamboule les cellules par simple contact

En fait, une seule petite partie du virus d’Epstein-Barr est responsable, chez certaines personnes, de l’apparition de cancers du système lymphatique, de l’estomac ou du nasopharynx : il s'agit d'une protéine, nommée BNRF1. Au contact de la cellule, celle-ci perturbe son processus de division. Plus précisément, BNRF1 augmente anormalement le nombre de centrosomes, éléments cellulaires qui permettent une distribution organisée des chromosomes lors de la division cellulaire. La désorganisation du processus entraine une instabilité chromosomique, un état qui favorise le développement de cancers. De manière très surprenante, "un simple contact avec la particule virale suffit à induire une tumeur", précisent les chercheurs. Or généralement, pour se faire, les virus ont besoin d'introduire leur génome dans la cellule qu'ils souhaitent infecter... En supprimant par manipulation génétique BNRF1 du virus chez la souris, les chercheurs sont parvenus à éliminer cette instabilité chromosomique.

Vers un vaccin contre le virus d'Epstein-Barr ?

Par ailleurs, chez les individus sains, le virus est souvent silencieux mais il peut par moments se multiplier et produire de nouveaux virus qui infectent les cellules voisines. Ces cellules, en contact avec la protéine virale BNRF1, sont soumises à un risque accru de dégénérescence cancéreuse. "Le virus d’Epstein-Barr pourrait donc causer plus de cas de cancers que l’on ne soupçonnait, commente Henri-Jacques Delécluse, principal auteur de ces travaux, dans un communiqué. Nous suggérons la mise au point d’un vaccin pour réduire la fréquence de contacts avec le virus d’Epstein-Barr et le risque de cancer associé." La mise au point d’un vaccin permettrait, selon les chercheurs, de limiter la fréquence des contacts avec le virus d’Epstein-Barr et donc le risque de distribution inégale des chromosomes entre cellules filles.
Plusieurs prototypes de vaccins existent déjà, certains d’entre eux sont basés sur les pseudo-particules du virus d’Epstein-Barr découvertes en 2005 par cette même équipe de chercheurs. Ces particules ont une structure identique à celle des virus classiques mais ne sont pas infectieuses car elles ne contiennent pas l’ADN du virus. Grâce à cette découverte, les chercheurs envisagent désormais d’inactiver la protéine toxique BNRF1 contenue dans ces particules avant de mener les tests permettant de confirmer l’utilité de ce prototype vaccinal

jeudi 16 février 2017

SUJETS POUR LE CONTRÔLE

Darwin et évolution des espèces, évolution humaine et processus de speciation.

mercredi 15 février 2017

TRAITEMENTS CONTRE LE CANCER

 Bloquer la prolifération des cellules

Dans environ 20 % des cancers du sein et de l'estomac, les cellules reçoivent en continu le signal de se diviser. L'Herceptin bloque ce mécanisme.
La découverte de l'Herceptin

En 2005, trois études révèlent que l'utilisation de l'Herceptin dans le traitement de cancers du sein à un stade précoce diminue de 33 % le taux de décès [1]. Du jamais-vu ! On doit ce médicament à une découverte faite vingt ans plus tôt : celle de la protéine HER2, un récepteur situé à la surface des cellules tumorales. Deux équipes de la société biotechnologique Genentech et de l'Institut national du cancer, aux États-Unis, s'aperçoivent que le récepteur HER2 est présent en plus grande quantité dans certaines tumeurs du sein [2].
Deux ans plus tard, Dennis Slamon de l'université de Californie à Los Angeles observe que les patientes surexprimant HER2 ont une survie plus courte [3]. L'équipe de Genentech montre ensuite chez la souris qu'en bloquant le récepteur HER2 avec un anticorps, on empêche la division des cellules tumorales. « HER2 devient alors une cible idéale : il a un rôle crucial dans la croissance tumorale, il est accessible à la surface de la cellule, il est peu présent dans les tissus normaux » , explique Frédérique Penault-Llorca, du centre de cancérologie Jean-Perrin à Clermont-Ferrand. En 1990, le premier anticorps anti-HER2, le trastuzumab, est mis au point par Genentech. Son effet secondaire principal est une toxicité cardiaque, liée à la présence de récepteurs HER2 au niveau du coeur. Depuis sa commercialisation en 1998, sous le nom d'Herceptin, il a été utilisé pour traiter près de 740 000 patientes atteintes de cancer du sein dans le monde. Il vient d'être autorisé dans le traitement du cancer de l'estomac.
Les autres thérapies fondées sur ce principe

> OMNITARG : anticorps contre le récepteur HER2. Essais de phase II prometteurs pour les cancers de l'ovaire et du sein.
> ERBITUX : anticorps contre le récepteur HER1. Autorisé pour le traitement du cancer colorectal métastatique et des cancers dits épidermoïdes avancés de la tête et du cou, il prolonge la durée de vie des patients respectivement de 25 % et de 67 % en moyenne.
> VECTIBIS : anticorps contre le récepteur HER1. Autorisé pour le traitement du cancer colorectal métastatique, il prolonge la durée de survie des patients sans aggravation de la maladie de 60 % en moyenne.

Affamer la tumeur

Les cellules cancéreuses font croître autour d'elles des vaisseaux sanguins qui les alimentent. L'Avastin s'attaque à ce processus.
La découverte de l'Avastin

En 1971, le chirurgien américain Judah Folkman émet l'hypothèse qu'en inhibant la croissance des vaisseaux qui alimentent la tumeur, on peut traiter le cancer [1]. Ce concept se fonde sur des observations sur l'animal. Mais il n'est pas pris au sérieux. Jusqu'à ce que l'on découvre les premières molécules responsables de la formation de nouveaux vaisseaux dans l'organisme. Or ces molécules, dites angiogéniques, sont aussi émises par les tumeurs, ce qui leur permet de créer leur propre vascularisation et donc de s'alimenter. La plus efficace d'entre elles, le facteur de croissance VEGF, est identifiée en 1989 par deux équipes simultanément : celle du Français Jean Plouët à l'université de Californie à San Francisco et celle de l'Américain Napoleone Ferrara de la société biotechnologique Genentech [2]. En 1993, Genentech met au point une molécule capable de bloquer le VEGF et d'inhiber la croissance des vaisseaux [3]. Il s'agit d'un anticorps, le bevacizumab, qui montre en 2004 des effets prometteurs sur le cancer colorectal. Il sera commercialisé en 2005 sous le nom d'Avastin. On sait aujourd'hui qu'il est responsable d'un deuxième effet : « En rendant les vaisseaux moins perméables, il facilite l'accès de la chimiothérapie à la tumeur » , note Jean-Jacques Feige, de l'Inserm à Grenoble.
Les cancers concernés

> CANCER COLORECTAL MÉTASTATIQUE : durée de survie allongée en moyenne de 30 %.
> CANCER DU POUMON DIT « NON À PETITES CELLULES » ÉVOLUÉ : durée de survie allongée en moyenne de 20 %.
> CANCER DU SEIN MÉTASTATIQUE : durée de survie sans aggravation de la maladie allongée en moyenne de 23 % à 96 % selon la chimiothérapie auquel il est associé.
> CANCER DU REIN ÉVOLUÉ : gain de survie sans aggravation de la maladie presque doublé.
> GLIOBLASTOME tumeur cérébrale : homologué aux États-Unis, pas encore en Europe. La durée de survie est allongée en moyenne de 40 % par rapport à la durée de survie généralement observée.                LA RECHERCHE AVRIL 2010

lundi 13 février 2017

SPECIATION

Même avec des échanges génétiques peut se produire une spéciation, si les îlots augmentent la reconnaissance des chromosomes homologues ne va pas se produire pendant la meiose.

Découverte scientifique sur le diabète





Salut!, comme le prochain sujet de la classe de Culture Scientifique est les découvertes dans le médecine……..je vous affiche une vidéo sur le diabète que je pense que c'est intéressant comme une découverte qu'aujourd'hui il y a plusieurs personnes qui l'obtient et il n'y a pas de solution pour l'instant.



À BIENTÔT!.

dimanche 5 février 2017

Travail pour demain

Demain,c'est à dire lundi 6 février vous devez rédiger votre monologue, et si vous l'avez déjà vous pouvez le montrer à un autre. Vous pouvez travailler en couples. Bon courage

jeudi 2 février 2017

PH1, un exoplanète qui dispose de quatre soleils

(Avant tout, je dois dire que cet article publié ici c'est d'Issa. Il ne pouvait pas le publier à cause de son ordinateur)


S'il te semble qu'à la Terre il n'éclaire pas suffisant le soleil, tu peux toujours te changer à PH1, une exoplanète récemment découvert qui dispose rien moins que de quatre étoiles.

Une équipe d'astronomes amateurs l'a découvert, en collaboration avec les experts de l'Université d'Yale (EEUU) que dans un article qui publiera la revue Astrophysical Journal expliquent que PH1 tourne autour d'un système stellaire binaire, à son tour, qu'est orbité par la deuxième paire d'étoiles distantes, ce duquel  donne le lieu pour une configuration planétaire "extrêmement rare". 

Les astronomes ont appelé/sonné à ce monde récemment découvert "système circumbinaire". 
"Les planètes circumbinaires sont les extrémités de la formation de planètes", a remarqué Schwamb, qui a pointé que "la découverte de ces systèmes oblige aux experts à revenir à la table de dessin pour entendre comment ces planètes peuvent naître et dynamiquement évoluer dans unes entourages difficiles".
PH1 est un géant de gaz avec un rayon d'autour de 6,2 fois celui-là de la Terre. Et voilà qu'il est dense, avec une masse  unes 170 fois plus grandes que la Terre. Il tourne autour de ses étoiles plus ou moins chaque 138 jours. Au-delà de l'orbite de la planète, à une distance d'autour de 1.000 unités astronomiques (la distance entre la Terre et le Soleil), la deuxième paire d'étoiles se situent qu'orbitan le système.


Il s'agit de la première planète identifiée par le programme de volontaires Planet Hunters, qui utilise des données de la sonde spatiale Kepler de la NASA, dessinée spécialement pour chercher des signaux de planétaires. "Ce système unique pourrait être passé inaperçu s'il n'était pas par les yeux minces du public", a souligné Schwamb, en détachant l'importance de la collaboration citadine dans la "chasse" de planètes.



Issa